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bonne année

Bonne année 2009 aux 500 « visiteurs » qui me font l’honneur de venir butiner sur mon blog chaque mois depuis le mois de Juillet. Je connais certains d’entre vous, ceux qui ont réagi oralement ou virtuellement. Les autres s’arrêtent en passant, et s’en repartent sans rien dire, c’est la loi du genre .A tous, bonne année ! J’ai « publié » 40 notes depuis la mi-juillet, j’ai reçu 8 commentaires. C’est peu me direz vous mais en examinant mes stat, je découvre que certains lecteurs trouvent le moyen de lire plus que la dernière note publiée. Ainsi, par exemple, le 9 Décembre, c’était un Mardi, il n’y a eu que 12 visiteurs, c’est peu mais ils ont lu 105 pages. Je ne sais ce qu’ils cherchaient ni ce qu’ils ont trouvé. Peut être, un jour, quelqu’un me dira qu’une « note » ou plusieurs ont fait naître en lui la petite musique de Dieu ; en attendant, je continue en 2009 à publier à mon rythme, encouragé par la progression régulière du nombre de lectrices et lecteurs sous l’effet sans doute du bouche à oreille. Alors, bonne et sainte année comme disait ma vieille mère !

n.b. : René, mon prof en informatique, a corrigé mon erreur, celle d’attribuer à Conrad l’intitulé de mon blog, à savoir : « la face claire de la nuit », alors que ce titre est tiré d’un poème de Gaspar. Pour me faire pardonner je vous fais en cadeau de fin d’année les quelques vers qui l’entourent et je vous donne les références de l’auteur et de son livre de poésie.

« Nos rivières ont pris feu

Un oiseau parfois lisse la lumière

Ici, il se fait tard.

Nous irons par l’autre bout des choses explorer la face claire de la nuit  »

Sol absolu de Gaspar, chez Gallimard : poésie.

Commentaires

  • Je butine, comme vous dites, sur Haut et Fort et je découvre avec plaisir "La face claire de la nuit"... J'espère revenir. J'ai ouvert il y a peu de jours un blog sur une autre plateforme, mais je pense "migrer" (déjà ?). Je suis un "voyageur dans la nuit" (belle expression de Charles de Foucauld), votre invitation à explorer "l'autre bout des choses" trouve évidemment en moi un écho. Merci pour les voeux, puisque je suis devenu l'un des visiteurs auxquels ils s'adressent, et pour les vers de Gaspar. "Pareillement" dit-on ici chez moi (je vis dans la forêt, en Afrique centrale). Cordialement. A.S.

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