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Réfugies,migrants

Chrétiens, nous sommes du Peuple de la Bible
Un peuple qui a connu les migrations dans le désert,
avec Abraham, Moïse…
Un peuple qui a connu l’exil,
à Babylone avec Isaïe, Jérémie.
 
Le peuple de Jésus contraint de fuir en Egypte.
 
Alors que les élections municipales approchent,
il faut nous le rappeler !
 
En effet, les étrangers, Les migrants,
les mineurs étrangers, les enfants
adoptés natifs de différents pays sont
nombreux sur le littoral. Certains sont
parmi nous, avec nous, depuis
longtemps : salariés d’entreprises,
professeurs, chômeurs, élus politiques,
professionnels de santé, étudiants…
Souvent, dans leurs pays d’origine,
l’accueil et le partage sont des
attitudes de fond, comme par exemple
en Afrique et au Proche Orient. La
solidarité est aussi vécue sur notre
littoral dunkerquois.Cent bénévoles  en font foi . Ils  se sont  allongés sur la place Jean Bart pour protester  contre  le mauvais accueil  du pays aux étrangers qui transitent   par  Dunkerque. 
Alors  réfléchissons au choix de
notre bulletin de vote;
 

Commentaires

  • 9-Prière revêtue de pourpre-

    9-1/-Cloitre des dominicaines de Colmar (13ème)-
    Niveau 0.
    *
    La Renaissance à Unter Linden.
    Elle accroche des belles chevelures à ses modèles.
    *
    -Le maitre de Colmar, Martin Shongauer( 1475) à travers son ‘Retable d’Orlier’, présente le blond vénitien dont les miens sont parés. Marie, drapée de bleu, porte la robe rouge qui lui va si bien. Elle n’est point affligée par le lys et la colombe.
    L’ Annonciation faite par Gabriel avec des aile d’un effet papillon joli. Martin peint un coin de ciel rouge, les traits d’un vieillard, Dieu le père certainement.
    *
    -Dans l’entresol du musée, Lucas Granach porte un regard sur le monde qui change.
    Il épingle la ‘Mélancolie’.
    Il confronte les idées nouvelles, celle du moine Luther.
    Prenant le contrepied du travail, hautement symbolique’ du maitre de Nuremberg, Granach dépouille Dürer sur une épreuve de 1514 la ‘mélancolie’, ange abattu dans un monde de savoir ésotérique.
    En 1532, le ton change, l’artiste propose un ange à poitrine belle et toute offerte. La tête d’une jeunette pas prête au bucher, même si, rousse de poil, la situation est bien secouée.
    L’artiste renverse le sens de l’allégorie.
    Il allège le traitement premier de ‘la mélancolie’ de manière péjorative.
    Seule une couronne en guingois disent la perturbation dont souffre le personnage pris d’une négligence désinvolture à tailler une branche d’arbre.
    La jeune femme couteau en main, s’enfonce dans la rêverie et la distraction tous yeux ouverts.(CF aussi, Gilles Coÿne)
    Avec Cranach et Luther point de complaisance avec la
    ‘Mélancolie’, l’action est proposée.
    Le retournement est opéré dans la jointure du siècle.
    Un maillon en pleine restauration, suggère le
    socle et les méthodes de la civilisation chrétienne.
    Les acteurs s’adaptent.

    Claire sur réfugiés, le 27/3/20

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