epilogue

 

 

Poussé  par le vent de noroit, un gros nuage noir parvient  par-dessus les toits du club d’à coté. Il se dirige vers la campagne  et libère un grand coin de ciel  bleu   dessus la mer. Très haut dans  l’azur  plane  une mouette éclairée par les rayons obliques du couchant.  Lumineuse   "comme une main de femme sous la lampe"(1), elle invite   les amoureux du vent  à la sérénité. La mort d’un chien et d’une mouette  n’aura pas fait de la plage un cimetière marin.Mais voici  que  « Le vent se lève  et  referme mon livre ».(2)

1) St John Perse  le vent

(2) Paul Valéry : conclusion  du cimetiére marin .dernier vers.Le pemier vers  du cimetiére marin  ne parle t il pas , de façon prémonitoire,  d' un  " toit tranquille  où marche les colombes" ?

Ma note est un peu courte et me laisse de la place pour  vous faire entendre   un refrain plaisant   face à une polémique  entre Fillion et Joly au sujet du défilé militaire du 14 Juillet.Avec le bonjour de  l'ami Georges :

"Le jour du 14 Juillet

Je reste dans mon lit douillet

La musique qui marche au pas

Cela ne me regarde pas

Je ne fais pourtant de tort à personne

En écoutant pas le clairton qui sonne

Mais les braves gens n'aiment pas que

L'on suive une autre route qu'eux"  .    Brassens

Sans commentaire, car   Je suis courageux mais pas téméraire :

je ne veux pas  que" tout le monde me montre du doigt, sauf les manchots ça va de soi".